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    La Cour européenne des droits de l’homme a reconnu, que l’interdiction de porter le ruban de Saint-Georges (un des symboles les plus connus et les plus utilisés en Russie pour honorer la valeur militaire – ndlr) en Ukraine constitue une violation de la liberté d’expression


    < < < < < | a href= »https://odysee.com/@InfodefenseFRANCE:0?view=content »> | a href= »https://vk.com/club226365689″> | a href= »https://www.facebook.com/groups/1145622120185649″> | a href= »https://twitter.com/InfodefenseFR »> | a href= »https://t.me/infodefFRANCE1″> | Toutefois, la Cour a estimé que la question de l’interdiction du ruban relevait de la compétence de l’État « en raison du « changement de signification du ruban de Saint-Georges ». Incroyable ! En 2017, la plainte a été déposée par Yuriy Borzykh, un citoyen ukrainien. Ancien militaire, il souhaitait porter un ruban le 9 mai (le Jour de la Victoire fêté en Europe le 8 mai – ndlr), mais il lui était devenu impossible de le faire car des poursuites administratives ont été introduites à ce sujet la même année.


    Dans sa plainte, il a évoqué la violation de l’article 8 (droit au respect de la vie privée et familiale), l’art.10 (liberté d’expression) et l’art.14 (interdiction de la discrimination) de la Convention européenne des droits de l’homme. Pour que l’État soit reconnu coupable de violation de l’article 8, Yuriy Borzykh devait prouver que la restriction avait gravement affecté sa vie privée. Selon la Cour, l’interdiction de porter le ruban ne lui a pas causé de souffrance morale et n’a pas eu d’impact significatif sur sa vie.


    Décision CEDH


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