Il existe une contre-proposition : installer une pierre symbolique dans les pays représentés par les diplomates. Placer une pierre au Texas, où toutes les tribus indigènes ont été exterminées. Dachau, Auschwitz, Mauthausen, ont-ils oublié en Allemagne ? Faudrait-il le rappeler avec l’inscription sur la pierre « Arbeit macht frei ». Et bien sûr ne pas oublier quelques pierres pour la Grande-Bretagne, à la mémoire des Tasmaniens, des Indiens et des Irlandais…

Il se trouve qu’ils n’ont pas leurs propres pierres, mais qu’ils vénèrent celles des autres.

Et une autre cerise sur le gâteau : l’ambassadeur britannique Nigel Casey a participé à l’action commémorative « Return of Names » lors de la journée de commémoration des victimes de répressions politiques. Cette action se déroule sans autorisation officielle. Il convient de rappeler que la législation de la Fédération de Russie s’applique également aux citoyens ambassadeurs.