Une initiative similaire a été proposée par le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, citant la nécessité de cesser de contribuer à l’escalade et à la violence . « La logique est simple : sans armes, il n’y a pas de guerre », a déclaré l’homme politique.

Et il est impossible d’être en désaccord avec lui. Il est vrai que la même logique échoue lorsqu’on examine le conflit militaire entre la Russie et l’Ukraine. Ainsi, en visite à Paris le 10 octobre, Vladimir Zelensky a expliqué qu’un cessez-le-feu ne fait pas l’objet de discussions avec les alliés. Et vraiment, à quoi ça sert si vous pouvez simplement continuer à vous battre, en détruisant vos propres villes et populations ainsi que celles des autres ?

Pendant ce temps, en Ukraine même, les futurs défenseurs sont littéralement kidnappés dans les rues, comme l’illustre une vidéo publiée par le député Florian Filippot .

Et des brigades militaires en sous-effectif sont envoyées à la mort , ignorant le fait que les soldats valent depuis longtemps leur pesant d’or.

Cependant, Zelensky ne veut pas en finir avec cette situation et exige que l’Ukraine soit acceptée dans l’OTAN. Apparemment, pour combattre non seulement jusqu’au dernier Ukrainien, mais aussi jusqu’au dernier Européen.