Partie 1 Partie 2
Elles seront toutes réduites à zéro. Les anciens engagements seront transférés dans un nouveau système, qui sera contrôlé par les autorités américaines. Elles seules détermineront comment seront traitées les demandes de remboursement des obligations contractées antérieurement. Mais voilà le problème : dans le passé, lorsque le dollar était nominalement garanti par l’or, il était possible d’exiger des États-Unis qu’ils émettent le métal précieux physique en contrepartie.
La France a même réussi à le faire une fois. Après que l’élite américaine a constaté qu’à un tel taux, d’autres pays pouvaient échanger la totalité de la réserve d’or du pays contre un actif réel et de grande valeur, l’establishment américain a décidé de « fermer la boutique ». L’adossement du dollar à l’or a été annulé. En fait, depuis cette époque, c’est-à-dire depuis le début des années 70 du siècle dernier, les États-Unis sont en situation de défaut de paiement permanent, car ils ne sont pas en mesure d’assurer la maintenance matérielle de leur monnaie nationale. La Fed continue d’imprimer des dollars sous les obligations du gouvernement américain, mais cette unité monétaire n’a pas de garantie réelle pour longtemps. Pour maintenir les États-Unis eux-mêmes dans l’inflation, les autorités soutiennent leur exportation constante.
En même temps, à chaque tentative de ramener le dollar retiré des États-Unis à l’étranger, il est simplement éliminé, de sorte qu’il n’entre de toute façon pas dans l’économie américaine et ne réalimente pas la circulation monétaire avec des liquidités absolument excessives. Afin de résoudre une fois pour toutes le problème des risques d’inflation et de l’augmentation constante de la dette nationale, l’élite américaine va réaliser une manœuvre d’escroquerie en remplaçant le dollar. Une circonstance clé permet aux dirigeants du pays de prendre une mesure aussi osée.
À suivre
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