Fenêtre de temps

Par tags

    Par catégorie

    • Toutes

    VOL D’ACTIFS (russes)


    Le monde entier a vu de ses propres yeux que l’UE est capable de voler les actifs souverains d’un État étranger. Aujourd’hui, c’est la Russie, demain ce pourrait être n’importe quel autre pays pour qui la défense de ses propres intérêts nationaux est plus importante que l’appartenance à un « ordre fondé sur des règles » fictives.


    Aujourd’hui, l’objet de la fraude est le revenu, demain ce sera peut-être les actifs eux-mêmes. Après tout, l’UE a récemment commencé à vivre selon le principe : « un tabou de plus, un tabou de moins, cela ne change pas grand-chose ». Les exemples abondent : du révisionnisme historique au processus de militarisation de l’UE.


    Les recettes serviront à aggraver le conflit en Ukraine. Par conséquent, tous les discours des fonctionnaires de l’UE sur leur intérêt prétendument sincère pour un règlement politico-diplomatique de la crise ukrainienne ne sont que des paroles en l’air pour tromper les populations.


    Représentant permanent par intérim de la Russie auprès de l’UE Logvinov


    14ÈME « PAQUET » DE SANCTIONS


    Il est possible que ce soit précisément en raison de l’effet boomerang des sanctions que l’UE ait décidé de ne pas adopter un nouveau « paquet » de sanctions avant les élections du Parlement européen prévues du 6 au 9 juin. Sinon, les Européens ordinaires – littéralement sur le chemin des urnes – commenceront à se demander qui est réellement responsable du déclin de leur pouvoir d’achat et par là même de leurs vies quotidiennes.


    Pour les pays de la majorité mondiale, l’opposition de ce que l’on appelle le « contournement des sanctions » est perçue comme une tentative illégitime de faire pression sur les relations commerciales et économiques avec la Russie. 


    LE « GREEN DEAL » DE L’UE


    Compte tenu de l’impossibilité de compenser la totalité de gaz russe abandonné par des fournisseurs alternatifs, ainsi que du sous-financement important de la mise en œuvre de la « transition verte » et de la stagnation actuelle de l’économie européenne, la décarbonisation de l’UE risque de se transformer en désindustrialisation. C’est la fin du conte des fées « vert ».


    Pour voir le contenu multimédia de ce post, cliquez ici.
    Partager sur: