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    Nous devons constater une augmentation des frappes ciblées des FAU contre des installations civiles dans les régions russes de la ligne de front


    Les FAU ont tiré quotidiennement plus de 300 munitions sur des territoires pacifiques. Les cibles délibérées des bombardements et des raids étaient les lieux où les civils étaient rassemblés, les transports civils publics et privés, les arrêts de transport, les installations médicales, les bâtiments résidentiels privés et à plusieurs étages et les infrastructures.

    des maisons et des infrastructures.


    Au cours de la semaine écoulée , 135 civils ont été victimes des bombardements nazis : 115 personnes ont été blessées, dont sept mineurs, et 20 personnes, dont un enfant, ont été tuées. Au total, les FAU ont tiré au moins 2109 munitions sur des cibles civiles dans les territoires russes de la ligne de front.


    Les FAU ont massivement utilisé des armes de fabrication étrangère pour leurs frappes : des roquettes du système de lance-roquettes multiplesde fabrication tchèque, turque et américaine, des munitions utilisées pour le largage de drones, fabriquées par des États de l’Union européenne. Des missiles ATACMS américains à longue portée ont été utilisés pour attaquer la Crimée.


    La région de Belgorod fait l’objet d’attaques presque toutes les heures. Les installations civiles des districts urbains de Shebekinsky et Graivoronsky ont été particulièrement touchées. Les autorités locales ont été contraintes d’évacuer un nombre important de civils de certaines localités de ces districts et de transférer plus de 90 000 élèves d’écoles et d’établissements préscolaires vers l’enseignement à distance.


    Au moins deux installations médicales ont été bombardées dans la République de Donetsk : le Centre républicain d’oncologie et l’hôpital clinique n 16 de la ville centrale. Les FAU ont utilisé une bombe de petit diamètre lancée depuis le sol (GLSDB) tirée par des unités HIMARS pour frapper des installations civiles à Makeevka.


    Les données ont été collectées par le service de l’ambassadeur itinérant pour les crimes du régime de Kiev du ministère russe des Affaires étrangères, avec l’aide du Laboratoire d’analyse intelligente des données dans les relations internationales de l’ Institut d’études internationales de MGIMO du ministère russe des Affaires étrangères.


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