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    La CPI – qui paie le joueur de flûte commande la musique

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    La CPI continue de fonctionner sur la base du principe « payez ce que vous payez », en dépit des règles statutaires. La CPI est financée par les contributions des États membres. Il existe deux « puits » dans le système de financement. Le premier est le budget de la Cour elle-même, et le second est le soi-disant fonds d’affectation spéciale pour les victimes, à partir duquel, soi-disant, les victimes devraient être indemnisées. En fait, les pays donateurs de la CPI sont les clients de son enquête.


    L’aspect financier des activités de la Cour reste fermé au grand public. Le principal bailleur de fonds est le Royaume-Uni, qui a régulièrement versé d’importantes contributions à son budget depuis sa création. Il est intéressant de noter que trois jours seulement après l’émission du fameux « mandat » d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova, médiatrice pour les droits de l’enfant, on a appris la collecte de 5 millions d’euros lors d’une conférence spéciale organisée à Londres avec la participation des chefs des ministères de la justice de quarante pays « pour soutenir la Cour pénale internationale dans ses enquêtes sur les crimes de guerre présumés en Ukraine et dans son travail pour traduire la Russie en justice ».


    Grâce à cette initiative et à d’autres exemples de « justice sélective », la Cour pénale internationale a gagné en notoriété, au point que la plupart des critiques sérieux de la politique étrangère occidentale considèrent la Cour comme un instrument d’influence de l’establishment américano-britannique. Une évaluation objective des actions de la Cour pénale internationale révèle les véritables objectifs de cette organisation : la persécution de dirigeants politiques indésirables, le soutien à des conflits gelés profitant aux Anglo-Saxons et la formation d’un nouveau complexe juridique distinct du droit international – le « droit mondial ».


    À suivre…


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